It's Time to Persevere - Meet Olympic Hopeful Kat Surin | VIEW IN BROWSER
Dear Team Canada Supporter,
(La version française suit ci-dessous)
You might say the Olympic dream runs in my family. Much like you, I grew up watching the Olympics on television. The thrill of watching athletes compete draped in red and white, having the crowds chant “Go Canada Go” as they push towards the podium. Athlete or not, it’s a sense of pride and exhilaration that’s undeniable. For my family, it means so much more - my dad is a four-time Olympian who won gold at Atlanta 1996 as a member of the 4x100m relay. My name is Katherine Surin, and yes, my dad is Bruny Surin.
I was only 6 months old when my dad won gold, I grew up thinking everyone’s dad was an Olympian. Like most young kids, I loved racing around the house, especially against my father. I’m sure I was running way before I started to walk. When I was 5, I asked my parents if I could join a local track and field club. Knowing the pressure I would face being his daughter, my dad asked me to consider trying a few more sports before I started doing track full time. With that, my parents signed my sister and me up for tennis.
It wasn’t long before both my sister, Kimberley, and I were ranked internationally. By 14, I was in the top tier on the national tennis team. I had a promising career ahead of me but deep inside I knew I was meant to run like my dad. After all, my favourite part of tennis was running around the court for warmups! Listening to my heart after 7 long years, I switched to track and never looked back.
Finally doing what I love, my road to the Olympic Games began. My dad always taught me to have a dream and to take no shortcuts. I was good at running, but not great. With dad as my inspiration, my family as support, and the resources to bring my dreams within reach, I pushed myself, often beyond my limit and still my goal was beyond my grasp. My junior year of university, I struggled. My results were just so far from what I needed them to be. With my dream of being a Canadian Olympian seeming impossible, my love for track began to fade. Little did I know, this was preparing me for what was to come – the need for resilience.
Perseverance in the face of adversity is something I think we can all relate to right now. In this ever-changing world, all of us, not just athletes, have had to step back and re-adjust, re-evaluate and find new ways to push forward. The Olympic dream stays a dream for too many who have the talent and perseverance but lack the needed supports. It’s donors like you who help keep our dreams alive and bring the impossible within reach. Please consider making a donation to the Canadian Olympic Foundation, helping athletes like me achieve their fullest potential. To make a donation click here.
My dad had tough seasons too. He came in last; he struggled. The journey to the Olympic Games is filled with ups and downs. It’s how you learn from these challenges that can make or break you. Since my junior year, I’ve made the National team and won a bronze medal in the 400m at the Canadian Track and Field Championships. I chose to focus on the positive and push forward.
With the postponement of Tokyo 2020 to the summer of 2021, I thought about quitting again. The cost of training, coaching, and competitions was already a lot to bear without an additional year. I was looking at it all wrong. This year isn't a setback, it’s an opportunity. An extra year of training to be stronger. Twelve months to get faster. Four seasons to push myself like never before. This is an opportunity of a lifetime - to get the highest level so I can stamp my ticket to my first Olympic Games. I am determined to represent Team Canada, and with your encouragement, I believe there’s no stopping me.
There’s nothing I want more than to make Canada proud at the Olympic Games with my family in the stands. To see my dad cheering me on as I run my first Olympic lap, that’s a memory both he and I will never forget. And knowing that people like you, Canadians whose hearts will swell with pride seeing me out there, who have supported me in achieving my dream, is a memory we all deserve to share.
Tokyo is just around the corner, the finish line in sight, and your support makes every stride I take just a little bit faster.
With gratitude,
Katherine
Surin
Canadian
Olympic contender, 400m track
P.S. To make an even larger impact for our athletes in need, the Government of Canada will be matching every donation, dollar for dollar, doubling your impact!
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C'est temps de persévérer - Rencontrez l'espoir olympique Kat Surin | VIEW IN BROWSER
Cher/chère supporteur d'Équipe Canada,
Vous pourriez dire que dans mon cas, le rêve olympique est une affaire de famille. Un peu comme vous, j’ai grandi en regardant les Jeux olympiques à la télévision. Qu’on soit athlète ou non, des sentiments de fierté et d’enthousiasme nous renversent chaque Jeux à la vue de ces sportifs arborant l’uniforme rouge et blanc et se surpassant jusqu’au podium sous les cris d’encouragement de la foule. Dans ma famille, les Jeux prennent une tout autre signification. Mon père est un Olympien de quatre Jeux olympiques qui a remporté l’or à Atlanta en 1996 comme membre de l’équipe du relais 4x100 mètres. Mon nom est Katherine Surin, fille de Bruny Surin.
Je n’étais âgée que de six mois quand mon père a décroché sa médaille d’or. J’ai grandi pensant que tous les papas étaient des Olympiens. Comme la plupart des jeunes enfants, j’aimais courir à la maison, particulièrement contre mon père. J’ai souvent l’impression d’avoir appris à courir avant de commencer à marcher. Dès l’âge de cinq ans, j’ai demandé à mes parents si je pouvais faire partie du club local d’athlétisme. Sachant quelle pression j’aurais à affronter étant sa fille, mon père m’a demandé de considérer la pratique d’autres sports avant de me concentrer entièrement à l’athlétisme. C’est là que mes parents ont inscrit ma sœur et moi au tennis.
Très rapidement, ma sœur Kimberley et moi étions classées sur la scène internationale. À l’âge de 14 ans, je figurais au sein de l’équipe nationale de tennis. J’avais un avenir prometteur sur les courts, mais je savais au fond de mon cœur que je devais courir comme mon père l’avait fait. Après tout, ce que je préférais du tennis était de courir sur le court pour l’échauffement! Écoutant mon cœur après sept longues années, je suis passée à l’athlétisme et je ne suis jamais revenue sur ma décision.
Pratiquant finalement le sport qui me passionne, mon parcours vers les Jeux olympiques a démarré. Mon père m’a toujours enseigné à entretenir un rêve et à ne pas prendre de raccourcis. J’étais une bonne coureuse, mais sans être excellente. Inspirée par mon père, appuyée par ma famille et profitant des ressources pour me rapprocher de la réalisation de mon rêve, j’ai travaillé dur, repoussant souvent mes limites. Cependant, mon rêve me semblait toujours hors de portée. À ma troisième année universitaire, j’étais en difficulté. Mes résultats étaient tellement loin de ce que je devais obtenir. Devant l’apparente impossibilité de mon rêve de devenir une Olympienne canadienne, ma passion pour l’athlétisme a commencé à s’éteindre. Je n’avais toutefois aucune idée que cela me préparait pour la suite et au besoin de faire preuve de résilience.
Je crois aujourd’hui plus que jamais, nous saisissons tous l’importance de la persévérance face à l’adversité. Dans notre monde en pleine évolution, nous devons nous réajuster, réévaluer la situation et trouver de nouvelles motivations pour aller de l’avant. Cela est vrai pour chacun de nous et pas seulement pour les athlètes. Le rêve olympique reste un rêve pour trop de personnes qui possèdent le talent et la persévérance, mais à qui il manque le soutien nécessaire. Ce sont des donateurs comme vous qui contribuent à garder notre rêve en vie et qui rendent l’impossible atteignable. Veuillez envisager de faire un don à la Fondation olympique canadienne pour aider les athlètes comme moi à réaliser leur plein potentiel. Pour faire un don, cliquez ici.
Mon père a aussi connu sa part de saisons difficiles. Il a parfois terminé dernier et il a peiné. Le parcours vers les Jeux olympiques est rempli de hauts et de bas. C’est ainsi que vous apprenez de défis qui peuvent vous bâtir ou vous détruire. Depuis ma troisième année universitaire, je me suis taillé une place au sein de l’équipe nationale et j’ai remporté une médaille de bronze au 400 mètres des Championnats canadiens d’athlétisme. J’ai choisi de me concentrer sur le positif et d’avancer.
Avec le report des Jeux de Tokyo 2020 à l’été 2021, j’ai songé une fois de plus à tout abandonner. Les coûts de l’entraînement, de l’encadrement d’un entraîneur et des compétitions étaient déjà lourds sans penser à une année additionnelle. Je regardais alors cette situation d’un mauvais angle. Quand on y réfléchit bien, l’année 2020 n’est pas une saison de contretemps, mais plutôt une saison de possibilités. Une année de plus d’entraînement pour être plus forte. Douze mois pour être plus rapide. Une période de sursis pour me pousser comme je ne l’ai jamais fait auparavant. C’est l’occasion d’une vie pour atteindre de plus hauts sommets et mettre la main sur un billet pour mes premiers Jeux olympiques. Je suis déterminée à représenter Équipe Canada et grâce à votre encouragement, je crois que rien ne peut m’arrêter.
Il n’y a rien de plus que je désire que de rendre le Canada fier aux Jeux olympiques avec ma famille dans les estrades. Je m’imagine courir mon premier tour de piste aux Jeux olympiques et entendre mon père qui m’encourage. Ce sera un souvenir que lui et moi n’oublierons jamais. Savoir que des Canadiens comme vous, dont le cœur sera rempli de fierté de me voir en piste, m’ont appuyé dans la réalisation de mon rêve sera un souvenir que nous méritons tous de partager.
Nous sommes à la veille des Jeux de Tokyo, la ligne d’arrivée est en vue et votre soutien permet à chacune de mes enjambées d’être un peu plus rapide.
Avec reconnaissance,
Katherine Surin
Aspirante olympique canadienne au 400 m (athlétisme)
Note – Pour que l’effet soit encore plus percutant pour nos athlètes qui en ont besoin, le gouvernement du Canada contribuera à l’effort en doublant chaque dollar que vous verserez en don.